
Le grand vide
De cases en cases, Manel Naher, l’héroïne du Grand Vide de Léa Murawiec se débat dans un monde qui peu à peu la condamne à la disparition. Acharnée à endiguer cette situation, elle ira peut-être trop loin. L’auteur pose ainsi la question de ce qu’on est prêt à faire pour réaliser ses rêves, mais surtout exister. À partir de ce postulat de départ, sont réunis au sein de l’exposition des artistes dont le travail questionne l’autofiction et la médiatisation de soi. Une partie des œuvres est produite spécifiquement pour l’occasion, notamment un mural de Léa Murawiec et un autre de Juliette Green. Clara Thomine y donne à découvrir une sélection de ses vidéos ainsi qu’une performance. Des photos de Damien Rouxel et Amandine Kuhlmann viennent compléter la sélection.